La fin de l'étè
Doucement l'étè agonise, les feuilles des chênes
Commencent à rougir et tombent avec peine !
Le soleil nous réchauffe de ses pâles rayons
Caché derriére un nuage noir à l'air grognon...
Mais septembre a quelques langueurs que j'aime
Avec son cliquetis de feuilles scandé tel un poéme!
Parmi les bois mouillés sur les sentes qui rougeoient
J'aime alors marcher au matin blême le coeur en joie!
Si je marche dans les bois j'apprecie leurs couleurs
J'aime la poésie qui s'en dégage et leurs richesses
Et si je suis émue devant toutes ses largesses
C'est qu'ils comblent mes regards et mon coeur.
Nise
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